IBOSHIM ARCHEOLOGY

IBOSHIM ARCHEOLOGY

jueves, 28 de febrero de 2013

Islamic necropolis (maqbara) and punic-roman "domus" of Hort des Pilarets.

The archeological site of Hort des Pilarets has three distinct chronological phases:

A) An islamic necropolis or maqbara (centuries X-XIII AD).
B) A Roman settlement (centuries II-III AD).
C) And finally, two rooms of punic period (2nd century BC) that were the beginning of the building and were reused by the roman phase.

Plan of the site.

A) Islamic phase:
The necropolis consists in 18 islamic burials in simple pit. The skeletons are placed on the right lateral (right lateral decubitus) and orientations are east to west (with heads on west and faces are looking to south).

General view of the maqbara.

Detail of the tombs. From left to right: T-5, 4 and 9 (infant burial).

Tomb 11.

Tombs 2 and 1 (from left to right).

B) Roman phase :
This consist in five rooms Roman (one of them was reused at the punic phase). We could date this construction with pottery: an african plate-capper of cooking, form Hayes 196. Their functionality maybe started at the second half of 2nd century AD and can be extended until, minimum, to first half of 3rd century (appeared, in one of the preparations for paving, a coin of emperor Gordian III). Surely the abandonment occurred in last years of 3rd century or at the beginning of 4th: two negatives structures, who cuts the walls of roman house (terminus ante quem), bears this out. They are a circle hole (stratigraphic unit nº 99) and a trench (SU-96). Their fillings gave us abundant pottery of the Late Roman Empire and Late Antiquity.

Photography overall of the roman rooms (in the upper, left corner, you can find the two punics rooms).

New aerial photography where we can see, in detail, the remains of pavements at the rooms.

Detail of one of the romans rooms.

C) Punic phase (2nd century BC):
It comes down to two rooms, one of which is underneath southeast edge of the work. With locals amphoraes (PE-24 and PE-17/T-8.1.3.2) and campanians potteries, found them in foundational levels (pavements and walls, basically), we could establish their functionality in the 2nd century BC. This confirms, as elsewhere (ses Païsses de Cala d'Hort, can Servent, can Pere Arabí...), that the construction of romans settlements had their beginnings from ancients punics houses (called mapalias). The first record that we have of this type of settlements (mapalias) has been given to us by the latin writer Sallust (86-35 BC) in his book The War of Jugurtha.

Detail of one of the punics rooms.

                                       
Second punic room annexed by the Southeast than the previous.

Hort des Pilarets offers great innovations in the archeology of the city of Ibiza for various reasons, but we will highlight briefly two. First, it refuses the idea, held so far, that the line of the ancient bay was localizated through Madrid Street; with this hipothesis, this site should be into the sea. A fact which can disprove, with the phases we have presented here, no only for islamic period, also for the punic and roman. Secondly, it seems to give us the northern boundary of the maqbara, located, and excavated recently (maybe ten years ago), at the España Avenue (a street close to our excavation by the south).

miércoles, 27 de febrero de 2013

Nécropole islamique (maqbara) et "villa" punique-romaine site du Hort des Pilarets


Le site de Hort des Pilarets comporte trois phases chronologiques distinctes:
A) Une nécropole islamique ou maqbara (siècles X-XIII AD).
B) Une villa romaine (siècles II-III AD).
C) Enfin, deux chambres d'èpoque punique (deuxième siècle avant JC): l'origine de la construction romaine.




A) Phase-islamique médiévale:
La nécropole se compose de 18 tombes musulmanes en fosse simple. Les squelettes sont placés dans de côte droite (décubitus latéral droit) et orientations sont est-ouest (avec des têtes à l'ouest).

Vue générale de la Maqbara.

Détail des tombes. De gauche à droite: T-5, 4 et 9 (enterrement infantile).

Tombe 11.

Tombs 2 et 1 (de gauche à droite).

B) Phase romaine:
Sont cinq chambres (un chambre est du la phase punique reutilisé). Nous datons sa construction avec un plat de cuisine africain Hayes 196. Sa fonctionnalité peut-elle s'étendre au moins jusqu'au milieu du IIIe siècle (apparaît dans l'une des préparations pour le pavage un as de Gordien III). Certes, l'abandon survenu fin du siècle IIIe ou début du IVe. Nous confirmé stratigraphiquement; deux négative, qui coupers les murs de la villa (terminus ante quem): le trou circulaire UE-99 et la tranchée UE-96; leurs plombages donné abondante matériau du empire de faible et de l'Antiquité tardive.

Photograph générale du les chambres de la villa romaine (dans le coin supérieur gauche est les deux chambres puniques).


Nouveau photographie aérienne où vous pouvez le voir, en détail, le reste du pavage de les chambres.

Détail d'une des chambres.

C) Phase punique (siècle II BC):
Il se résume à deux chambres, dont l'une est recouverte par la sud bord du la lieux de travaux. Les chambres est datés par amphores ebusitanas PE-24 et PE-17/T-8.1.3.2, et pour la céramique campaniens (qui sont trouvé à la niveaux fondamentaux situés au-dessous de les chambres). Cela confirme, comme ailleurs (Païsses de Cala d'Hort, can Servent, can Pere Arabi ...), qui la construction de colonies romaines s'originé de les puniques maisons (mapalias). Le premier disque que nous avons de ce type d'établissement phénicienne-punique nous le donne l'écrivain latin Salluste (86-35 avant JC) dans son livre La guerre de Jugurtha.


Détail d'une de les chambres puniques.

Deuxième chambre punique, est annexée par le sud-est à la précédente.

Hort des Pilarets offre de grandes innovations dans l'archéologie de la ville d'Ibiza, pour diverses raisons, mais nous allons parle brièvement du deux. Tout d'abord: nous abandon l'idée qui la line de la mer est a l'est du la rue Madrid. Avec l'excavation on nous trouvé vestiges du les puniques, romains et islamiques; alors, se impossible qui cette se la mer. Deuxièmement, il semble nous donner la limite nord de la maqbara, trouvé, également, à l'Espagne avenue (rue voisine par le sud).

martes, 26 de febrero de 2013

Nécropole islamique (maqbara) du "can Fonoll"









Le maqbara du can Fonoll est une nécropole islamique (siécles XII-XIII AD) situé dans la paroisse de Sant Jordi de Ses Salines. Il comprend un total de 167 sépultures en fosse simple, en plaçant le défunt sur ​​son côté droit, selon l'ordre prescrit par le Coran. Leurs orientations sont nord-est / sud-ouest, les têtes sont sud-ouest avec leurs visages regardant au sud-est. Il n'est pas clair si cette disposition peut être dû à:

1. L'origine berbère du colonisateur d'Ibiza. Fait qui pourrait justifier ce orientation du défunt à le Maghreb.
2. Ou peut-être sont orienté à la principale mosquée de l'époque située en Tunisie: Kairouan.
3. Ou ce pourrait être, avec quelques variations, essayez à orienter le défunt à La Mecque (paradigmatique rite musulman).

Non loin de ce cimetière ont été trouvés les restes d'une ancienne habitat rural islamique. Il s'agit de formes céramiques sont attachés.





Sur ce site, ont également trouvé une série de tranchées destinées à des cultures de vigne du punique-romaine epoque (siécles -II/ I).

Islamic necropolis (maqbara) of "Can Fonoll".







The maqbara of can Fonoll is an Islamic necropolis (ss. XII-XIII AD) located in the parish of Sant Jordi de ses Salines. It comprises a total of 167 burials in simple pit, placing the deceased on his right side, according to the order prescribed by the Koran. Their orientations are NE-SW, being the heads on southwest and looking the faces to southeast. It is unclear whether this provision may be due to:

1. The berber origin of much of the colonizer contingent of Ibiza. Fact that could justify this placement orientated to Maghreb.
2. Or maybe in relation to the main mosque of the time located in Tunisia: Kairouan.
3. Or it could be, with some variation, that they tried to guide the deceased to Mecca (​​paradigmatic ritual in Muslim world).

Not far from this cemetery were found the remains of an Islamic farmhouse (rural settlement) from which they come ceramic forms that we have attached.





At this site were also found a series of trenches intended for vine crop that are been dated for punicoromana era (ss.-II / I).

Gold ring appeared in the T-5 of necropolis Vía Púnica 36.

This ring appeared inside the skull of the individual from the tomb # 5 of necropolis Vía Púnica 36 (for more information, please review the article about Vía Púnica 36 necropolis in this blog: http://iboshimarcheology.blogspot.com.es/2013/03/roman-necropolis-in-ibiza-via-punica-36.html). The presence of the ring at inside of the skull due to postmortem taphonomic process, moving there from its original location that should be in the mouth or on one eye, ritual practice common in the religious conceptions of the afterlife in antiquity: for example, the coins for the ferryman Charon in the Greek world. The ring is gold and has three circular stones: two ruby and an emerald.





domingo, 24 de febrero de 2013

Anneau en or dans la tombe n ° 5 de la nécropole Vía Púnica 36.

Cet anneau est apparu dans le crâne de l'individu de la tombe n ° 5 de la nécropole Vía Púnica 36 (pour plus d'informations, s'il vous plaît examiner la étude nécropole romaine Vía  Púnica 36 dans ce blog: http://iboshimarcheology.blogspot.com.es/2013/02/necropole-romain-via-punica-36-francais.html ). Il a été découvert au cours de l'étude anthropologique. La présence de l'anneau à l'intérieur du crâne en raison du processus post-mortem taphonomique, y déménager de son emplacement initial qui devrait être dans la bouche ou sur un œil, la pratique rituelle commune dans les conceptions religieuses de l'au-delà dans antiquité: par exemple, les pièces de monnaie pour le passeur Charon dans le monde grec. La bague est en or et a trois pierres circulaires: deux rubis et a émeraude.








Anillo de oro aparecido en la T-5 de Vía Púnica 36.


Este anillo apareció en el interior del cráneo del individuo de la tumba nº5 de la necrópolis de Vía Púnica 36 (para más información consultar la reseña sobre la necrópolis de Vía Púnica 36 en este mismo blog: http://iboshimarcheology.blogspot.com.es/2013/02/necropolis-via-punica-36.html). Se descubrió durante el estudio antropológico. La presencia del anillo en el interior del cráneo se debe a un proceso tafonómico post mortem, desplazándose ahí desde su ubicación original que debió ser en la boca o sobre uno de los ojos, práctica ritual habitual en las concepciones religiosas de la vida de ultratumba en la antigüedad: por ejemplo, las monedas para el barquero Caronte en el mundo griego. El anillo es de oro y posee tres piedras circulares: dos de rubí y una de esmeralda.  






Links:
http://iboshimarcheology.blogspot.com.es/2013/02/necropole-romain-via-punica-36-francais.html
http://iboshimarcheology.blogspot.com.es/2013/02/necropolis-via-punica-36.html